Climat de travail : piégé dans le mauvais job ?

Peur de perdre son emploi et de subir une charge de travail supplémentaire

Selon une évaluation récente de l'indice autrichien du climat de travail, un salarié sur trois est prisonnier du mauvais emploi. Cela a des conséquences négatives tant pour les personnes concernées que pour les employeurs : les personnes surqualifiées sont en effet souvent malheureuses dans leur travail et changent nettement plus souvent d'entreprise ou même de profession que les autres. L'insatisfaction s'exprime surtout par rapport au manque de possibilités de carrière et d'évolution.

Mais aussi les attentes Impact de la numérisation ont une forte influence sur l'ambiance de travail : 30% des employés estiment que leur activité s'en est trouvée significativement modifiée au cours des cinq dernières années - et que le nombre d'emplois s'en est trouvé réduit. Environ 40% craignent que la numérisation ne fasse disparaître encore plus d'emplois. Dans la même mesure, autant de travailleurs s'attendent à ce que leur propre poste de travail se modifie - en lien avec des charges supplémentaires, mais aussi avec des facilités.

(Source : karriere.at)

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